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Les études, c’est du passé, maintenant place au travail. Plus que quelques semaines avant la fin de mon stage de six mois, je croise les doigts pour trouver rapidement un emploi. Je suis consciente que le métier de journaliste est très demandé, de ce fait les places se font chères. Mais je ne pense pas au négatif. Je vais tout faire pour réussir à décrocher un job, le job que j’ai toujours voulu faire. L’EDJ ne m’a pas aidé à trouver ce stage. J’ai eu l’opportunité grâce à l’école. Cependant, je souhaite réussir par mes propres moyens. C’est pourquoi, dès que j’ai su que j’allais réaliser un stage de fin d’études, je me suis débrouillée à le décrocher toute seule. Chose faite. En revanche, l’École du Journalisme permet d’intégrer le marché du travail. La preuve, sans un enseignement et des simulations d’entretien d’embauche, je n’aurais peut-être pas été capable de séduire les personnes qui me faisaient passer l’entretien en mai dernier. Cette débrouillardise, je l’ai amélioré au fur et à mesure de ces trois années à l’EDJ. Notamment, grâce aux reportages que je réalisais. Il faut toujours réussir à trouver une solution dans le journalisme, et cela, je l’ai bien compris.

Je me sens prête à postuler partout. Que ce soit en France, et même à l’étranger. J’ai envie de travailler pour un média qui me plaît, qui me correspond. Pour cela, je devrais faire des concessions, mais cela ne me fait pas peur. L’école m’a aussi apporté un élément primordial peut être sur le marché du travail : la maturité. Les années passent, et je me rends compte que je suis davantage mature. En arrivant en première année, je n’avais pas la même vision du journalisme. Désormais, je sais ce que je veux et je l’aurais. Je me sens très à l’aise dans les médias proposant un support d’audio-visuel. Dans mon élément face à une caméra ou devant un micro, j’ai l’ambition de devenir présentatrice.

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