« D’un véritable professionnalisme, EDj a toujours été la structure sur laquelle notre entreprise s’est engagée pour engager des jeunes en devenir, et c’est un véritable sans faute depuis toutes ces années…. Bravo à toute l’equipe et rdv en 2023 pour pérenniser cette très belle collaboration… »
« J’ai étudié dans cette école il y a plus de 10 ans et j’ai reçu plusieurs stagiaires des nouvelles
promos ces dernières années. Le niveau est toujours aussi bon et le cursus permet
REELLEMENT de se rendre compte de la réalité du marché. Personne ne nous ment sur la
difficulté du métier et des choses à faire pour arriver au meilleur niveau. Que du positif a dire
sur cet établissement ! »
« (…) Quel plaisir d’avoir échangé avec ce dialogue on grandit, on s’enrichit. Félicitations d’avoir fait prospérer l’école. »
« Vive l’esprit de cette école fait de curiosité, d’enthousiasme et d’ambition. »
« Je suis très heureux d’avoir découvert une école de formation qui prépare des journalistes dynamiques, motivés et rigoureux de demain. »
« J’espère avoir apporté aux étudiants les réponses qu’ils attendaient sur le journalisme ce merveilleux et difficile métier. »
« (…) Dans ce lieu où je le souhaite, l’instinct de curiosité et de l’indépendance seront des règles de journalisme »
« La communication est au journalisme ce que l’oxygène est au plongeur. Un conseil aux étudiants, RESPIREZ ! »
« Une mission ambitieuse et indispensable : Celle de la formation des femmes et des hommes de communication de demain. »
« Enfin une école qui donne envie d’y travailler »
« (…) Journaliste c’est l’un des plus beaux métiers. C’est plus qu’un métier c’est une vocation ! (…) J’espère que vous vous régalerez tout au long de votre carrière autant que moi. »
« C’est enrichissant de transmettre et échanger. Moi, je vais pouvoir faire part de mon expérience de vieux croûton à cette promo 2021. Eux, ils vont pouvoir me montrer comment ils voient et appréhendent le métier »
« Soyez à l’écoute du monde et des histoires des autres ! Je suis très honoré et très heureux d’être votre parrain. Vous voilà arrivés à la porte d’une grande aventure : devenir journaliste ! ».
« Vous avez bien de la chance, moi je n’ai pas connu cette école ! Si vous passez par Paris, je serai ravi de vous accueillir dans les coulisses de mes émissions. »
« C’est un grand honneur d’être parrain de l’EDJ ! C’est un métier formidable. »
« Dans ce lieu, je le souhaite, l’instinct de curiosité et l’indépendance seront des règles de journalisme.
Bonne chance (et bonheur).
Amitiés »
« Evidemment, la meilleure école de journalisme ne pouvait être qu’à Nice !
D’abord, donc merci d’exister.
Ensuite, merci pour votre accueil.
Enfin, merci de m’avoir donner l’occasion de rencontrer ceux qui entrent dans la carrière, comme le dit la Marseillaise, lorsque leurs aînés y sont encore. À bientôt ! »
« Cela fait maintenant 3 ans que je travaille chez Turbulences Presse. J’ai tout d’abord fait un stage là-bas lors de ma première année de Mastère à l’EDJ de Nice, puis, à la fin de mon stage à Canal+ rugby lors de ma 2ème année, Samuel Gouttebelle, le Directeur de publication, m’a rappelé.J’ai toujours souhaité être Rédactrice en chef de mon propre magazine sportif. Cela a été chose faite quelques mois seulement après ma sortie de l’école. En revanche, Turbulences Presse est une petite entreprise et le fonctionnement des magazines ne ressemble en rien à celui que l’on peut voir dans les grandes rédactions parisiennes. Je suis seule à rédiger mon magazine. Je m’occupe à la fois des sujets, des interviews, de l’écriture, ainsi que des parties news ou shopping de mes magazines. Je fais également la couverture et je suis régulièrement en contact avec les régies publicitaires concernant le placement des pubs dans les numéros. Un métier passionnant de passionnés en conclusion, qui demande énormément de travail. »
« Depuis le début de l’année je suis journaliste web à La Gazette de Monaco, un site bilingue dédié à l’actualité monegasque. Après trois stages en Principauté, je savais que c’était ici que je voulais travailler. J’ai trouvé ma place et je me sens super bien dans cette rédaction. »
« Merci… Merci pour tout ce que j’ai pu apprendre, merci pour vos conseils avertis, à tous, merci pour votre gentillesse et vos coups de gueule. Merci pour votre soutien et surtout merci de m’avoir permis de rendre et de partager tout ce que vous m’avez donné. Cette journée restera gravée dans ma mémoire, tout comme les deux ans passés ici. Je ne connais pas de plus beau métier que le journalisme et je ne connais pas meilleure école que « Nouvelles ». »
« Un retour en arrière bien agréable ! C’est là que tout a commencé, c’est ici, à « Nouvelles », que l’on m’a donné les clés pour rentrer dans cet univers dont j’avais tant rêvé. J’espère que mon expérience servira à tous mes futurs confrères. Je les attends avec impatience pour pouvoir partager avec eux ces incomparables moments de bonheur intenses propres à ce fabuleux métier : JOURNALISTE ! »
« Un retour aux sources pour prendre des « Nouvelles »… Et pour faire partager un métier qui nous passionne tous. Longue vie à cette école qui donne aux étudiants une chance… Qu’il faut toujours saisir. Ça en vaut la peine. Parole d’ancienne… »
Lors d’une conférence en 1999 : « Si un seul ou une seule de ceux qui étaient là pense légèrement autre chose sur ce métier après cette venue bavarde qui a été mienne en ce jour, c’est bien. Devise codée à leur rappeler : « goût du secret, courage prouvé, talent du récit ». Bonne chance à chacun. Je reviendrai une autre fois pour vous donner la clef. Que vos semelles de vent vous fassent voyager… »
Lors d’une conférence en 1998 : « Vive l’esprit de « Nouvelles » fait de curiosité, d’enthousiasme et d’ambition. Que de questions passionnantes, pour une fois que ce n’est pas moi qui les pose. Bonne chance ! »
Lors d’une conférence en 1998 : « Merci à « Nouvelles » de m’avoir permis de passer le relais aux jeunes générations que vous formez. Vous leur apportez le savoir, j’ai tenté de leur apporter un zeste de passion ; car ce métier s’apprend mais ensuite se vit. Bravo, nous sommes complémentaires. J’ai été heureux de vivre ces quelques instants ici et si vous me le permettez, je reviendrai. Amitiés confraternelles. »
Lors d’une conférence en 1997 : « Questionneur questionné, quelle épreuve ! Quelle joie ! Quelle graine semée ? Y a-t-il des exemples à suivre ? Qui est un exemple ? Grâce à l’école, il y a eu rencontre entre des êtres singuliers, c’est si beau. À un jour ou à un autre. »
Lors d’une conférence en 1997 : « Une école à l’image de nos parents, des élèves à l’image de leur école. L’avenir de notre franc métier est entre vos mains. Je ne suis pas inquiet, tant que vous avez à coeur la simplicité. »
Lors d’une conférence en 1997 : « Je suis très heureux d’avoir découvert une école de formation qui prépare les journalistes dynamiques, motivés et rigoureux de demain. Je pense que l’on travaillera ensemble longtemps. »
Lors d’une conférence en 1996 : « Merci de m’avoir donné un tel moment de bonheur et de passion. Il y a parmi tous ces jeunes de réels talents. Ils sont, il est vrai, à la bonne école. « Informer », doit être votre première mission. Regardez autour de vous et rendez compte avec la rigueur et l’enthousiasme de vos 25 ans. »
Lors d’une conférence en 1996 : « Merci de m’avoir permis de réfléchir un peu sur « notre métier ». Soyez enthousiastes, curieux, un peu heureux… et fiers d’être journalistes ! Bonne chance à tous. »
Lors d’une Journée Portes Ouvertes en 1995 : « »Nouvelles », c’est à la fois un architecte (Jean) et une surprise (bonne). Ça valait le coup de venir à Nice même sous un ciel gris pour prendre un bain de jouvence. Quel enthousiasme ! J’ai failli me prendre pour une vedette, rien qu’à voir frétiller les Goujon (ndlr : nom de famille des directeurs de l’école) ».
Lors d’une conférence en 1995 : « Merci à l’incroyable « corporation » en formation et mouvement, capable de rester attentive, gravement… 3 heures durant. Ceux-là, ne « zapperont » pas et creuseront… le sillon. Bourdieu a raison : la corporation est forte, les journalistes sont fragiles. Puissent les promotions 1996 être fortes… Fortes… Grâce aux « Nouvelles ». »
Lors d’une conférence en 1994 : « J’espère avoir apporté aux étudiants les réponses qu’ils attendaient sur le journalisme, ce merveilleux et difficile métier. Mais ils m’ont aussi beaucoup appris par l’acuité de leurs questions. Merci à tous pour votre accueil. »
Lors d’une conférence en 1994 : « Un grand merci à vous de m’avoir fait retrouver Nice au cours d’un long échange rempli de curiosité et de passion pour votre métier. »
En 1993 : « J’ai voulu insuffler aux étudiants ma passion de la vie et ma curiosité pour le monde qui nous entoure. Si j’ai contribué à les rendre curieux, je suis le plus heureux des profs ! »
Lors d’une conférence en 1993 : « Heureux qui communique ! À condition d’avoir un peu de talent, et beaucoup de passion, chance et ambition. Pour réussir son pari, TMC a besoin de cette alchimie qui, a priori, transpire dans cette école. Bon vent ! »
Lors d’une conférence en 1993 : « Une « Nouvelle(s) » école pour former de nouveaux journalistes… Pour une fois, je peux sans doute me permettre un faute d’orthographe. Ça c’est une « bonne » nouvelle ! Il y a même matière à en faire une radio, comme le souhaitent vos futures vedettes de l’antenne. »
Lors d’une conférence en 1992 : « Evidemment, la meilleure de journalisme ne pouvait être qu’à Nice ! D’abord, donc, merci, d’exister. Ensuite, merci pour votre accueil. Enfin, merci de m’avoir donné l’occasion de rencontrer ceux qui entrent dans la carrière, comme le dit la Marseillaise, « lorsque leurs ainés y sont encore ». À bientôt. »
En 1991 lors d’une conférence : « Pour le papa, la maman et tous les bébés de Nouvelles (ndlr : ancien nom de l’EDJ)… Avec tous mes voeux de bonheur. Amitiés confraternelles. »
En 1991, lors d’une conférence à l’école : « Vos étudiants m’ont épuisé… Je ne sais quoi leur dire, sinon ceci : à voir leur enthousiasme, et à écouter leur sincérité, je me suis trouvé très fier d’être un journaliste. Alors merci. »
Lors de l’inondation des locaux en 1992 : « Heureusement, notre métier est une leçon permanente d’humilité… Qui compensera l’honneur (ressenti) d’écrire ces quelques mots dans une salle qui porte mon nom. »
Son témoignage lors de l’ouverture de l’EDJ en 1990 : « Heureux et honoré d’ouvrir ce livre d’or qui « s’ouvre », j’en suis persuadé, sur une mission ambitieuse et indispensable : celle de la formation des femmes et des hommes de communication de demain. »
Si c’était à refaire, je n’hésiterais pas une seule seconde à intégrer l’EDJ. Les profs m’ont transmis leur passion, et je n’ai jamais été larguée sur le terrain grâce aux cours toujours plus « pratiques » que théoriques. Quinze ans après, je constate que la qualité de l’école n’a pas changé. Tous les stagiaires venant de l’EDJ que j’ai pu encadrer sont toujours un cran au-dessus des autres.
Des profs passionnés et passionnants, de la méthodologie, du terrain, et des amis. Voilà ce que j’ai gardé de mes années à l’EDJ. 15 ans plus tard, j’ai une tendresse particulière pour cette tranche de vie niçoise qui m’a préparé à écrire et à penser autrement.
L’EDJ, c’est mes premiers reportages sur le terrain. C’est une école où l’on donne une large place à l’apprentissage par la pratique. L’enseignement est très proche de ce qui est maintenant ma réalité de journaliste.
L’EDJ ça a été deux années merveilleuses où régnait une ambiance magique. Deux années inoubliables. Deux années où l’on a appris ce que voulait dire : « être journaliste ».
Fatigué. Epuisé. Et j’écris encore. J’y crois pas. Que j’écris encore. Mais faut croire que j’aime ça ! 15 ans déjà. Merci l’EDJ. Merci pour tout.
Cela va faire 18 ans que j’ai quitté les bancs de l’école mais l’école ne m’a jamais quitté. Une formation de deux ans que l’on met en pratique pendant toute une carrière.
1995/2005, une décennie que je n’oublierais jamais et qui a démarré avec l’EDJ. Si l’arbre a pu pousser c’est que vous avez planté la graine. 10 ans après, l’arbre est toujours debout.
Nos enseignants ont instillé en chacun de nous le goût de la rigueur. Exigeants, pédagogues, motivants. Voilà 15 ans déjà que l’on me paye à m’enrichir !
L’EDJ, c’est l’école du terrain. On y découvre le journalisme de proximité, le vrai… Et c’est sur ces bonnes bases, bien solides, qu’on peut se construire derrière, aspirer à devenir plus grand.
À l’EDJ on nous a donné notre première « dose ». Ensuite on devient vite « accro » à l’Info.
Je crois que j’aurais fait ce métier, même sans l’EDJ. Mais cette école m’a formé et forgé… Et c’est grâce à elle, que j’ai pu intégrer LCI.
Deux années d’enthousiasme quotidien !
Ce que je retiens de mon passage à l’EDJ ? Le fait d’avoir élargi mon horizon. Et la démonstration que tout était possible.
L’EDJ a cet avantage de mettre le pied à l’étrier pour les jeunes journalistes en herbe.
L’EDJ a réussi à m’apprendre à me faire confiance en me donnant les clés de lecture de l’information.
Je crois pouvoir dire que mon passage à l’EDJ a été une chance et un formidable tremplin pour la suite.
L’EDJ n’est pas une école, c’est un pont. Un passage qui a relié ma vie d’étudiant à ma vie professionnelle.
De mon passage à l’EDJ, je retiens la solidarité qui existe entre les étudiants de ma promotion. Cette entraide perdure pour mon plus grand plaisir.