Si c’était à refaire, je n’hésiterais pas une seule seconde à intégrer l’EDJ. Les profs m’ont transmis leur passion, et je n’ai jamais été larguée sur le terrain grâce aux cours toujours plus « pratiques » que théoriques. Quinze ans après, je constate que la qualité de l’école n’a pas changé. Tous les stagiaires venant de l’EDJ que j’ai pu encadrer sont toujours un cran au-dessus des autres.
Des profs passionnés et passionnants, de la méthodologie, du terrain, et des amis. Voilà ce que j’ai gardé de mes années à l’EDJ. 15 ans plus tard, j’ai une tendresse particulière pour cette tranche de vie niçoise qui m’a préparé à écrire et à penser autrement.
L’EDJ, c’est mes premiers reportages sur le terrain. C’est une école où l’on donne une large place à l’apprentissage par la pratique. L’enseignement est très proche de ce qui est maintenant ma réalité de journaliste.
L’EDJ ça a été deux années merveilleuses où régnait une ambiance magique. Deux années inoubliables. Deux années où l’on a appris ce que voulait dire : « être journaliste ».
Fatigué. Epuisé. Et j’écris encore. J’y crois pas. Que j’écris encore. Mais faut croire que j’aime ça ! 15 ans déjà. Merci l’EDJ. Merci pour tout.
Cela va faire 18 ans que j’ai quitté les bancs de l’école mais l’école ne m’a jamais quitté. Une formation de deux ans que l’on met en pratique pendant toute une carrière.
1995/2005, une décennie que je n’oublierais jamais et qui a démarré avec l’EDJ. Si l’arbre a pu pousser c’est que vous avez planté la graine. 10 ans après, l’arbre est toujours debout.
Nos enseignants ont instillé en chacun de nous le goût de la rigueur. Exigeants, pédagogues, motivants. Voilà 15 ans déjà que l’on me paye à m’enrichir !
L’EDJ, c’est l’école du terrain. On y découvre le journalisme de proximité, le vrai… Et c’est sur ces bonnes bases, bien solides, qu’on peut se construire derrière, aspirer à devenir plus grand.
À l’EDJ on nous a donné notre première « dose ». Ensuite on devient vite « accro » à l’Info.
Je crois que j’aurais fait ce métier, même sans l’EDJ. Mais cette école m’a formé et forgé… Et c’est grâce à elle, que j’ai pu intégrer LCI.
Deux années d’enthousiasme quotidien !
Ce que je retiens de mon passage à l’EDJ ? Le fait d’avoir élargi mon horizon. Et la démonstration que tout était possible.
L’EDJ a cet avantage de mettre le pied à l’étrier pour les jeunes journalistes en herbe.
L’EDJ a réussi à m’apprendre à me faire confiance en me donnant les clés de lecture de l’information.
Je crois pouvoir dire que mon passage à l’EDJ a été une chance et un formidable tremplin pour la suite.
L’EDJ n’est pas une école, c’est un pont. Un passage qui a relié ma vie d’étudiant à ma vie professionnelle.
De mon passage à l’EDJ, je retiens la solidarité qui existe entre les étudiants de ma promotion. Cette entraide perdure pour mon plus grand plaisir.