Les avis sur l’EDJ NICE et ses formations

Les avis du milieu professionnel sur l’EDJ
Thomas SOTTO, Journaliste et parrain 2021 de l’EDJ

"C'est enrichissant de transmettre et échanger. Moi, je vais pouvoir faire part de mon expérience de vieux croûton à cette promo 2021. Eux, ils vont pouvoir me montrer comment ils voient et appréhendent le métier"
PAULINE WAAG, Journaliste et ancienne étudiante de l’EDJ (Promo 2018)

DENIS ASTAGNEAU, Journaliste

Lors d'une Journée Portes Ouvertes en 1995 : ""Nouvelles", c'est à la fois un architecte (Jean) et une surprise (bonne). Ça valait le coup de venir à Nice même sous un ciel gris pour prendre un bain de jouvence. Quel enthousiasme ! J'ai failli me prendre pour une vedette, rien qu'à voir frétiller les Goujon (ndlr : nom de famille des directeurs de l'école)".
BENJAMIN BLANC

De mon passage à l'EDJ, je retiens la solidarité qui existe entre les étudiants de ma promotion. Cette entraide perdure pour mon plus grand plaisir.
Les avis des étudiants sur l’EDJ
Etudiant, promo 2018

Me voici à la fin de deux années intensives à l'École Du Journalisme. En parallèle, j'ai continué mon activité de « rédacteur web » sur MadeInFOOT.com afin de me préparer au mieux à poursuivre ma professionnalisation. Dans cet objectif, l'EDJ m'a beaucoup servi, en alliant cours théoriques et médias réels. Être armé pour affronter le marché du travail, lorsqu'on veut être journaliste, c'est être capable de s'adapter. S'adapter au sujet, tout d'abord. Depuis deux ans, j'ai pu élargir ma culture générale. Travailler l'économie, les sciences sociales, la politique... puis me spécialiser en sport et appréhender le traitement des sports renommés, les « sports majeurs » mais aussi les sports confidentiels, dits « mineurs ». Ma formation m'a aussi permis d'appréhender les aspects judiciaires de mon futur travail, qu'il s'agisse de droit de la presse ou de droit du sport : j'ai désormais quelques outils pour aborder des sujets épineux, ou spécialisés. S'adapter au média, ensuite. Le journaliste est voué à bouger. À évoluer, aussi. Je ne peux que difficilement m'imaginer une carrière linéaire, dans un média ou un autre. Durant ces deux années, j'ai appris à devenir multisupport. Qu'il s'agisse de presse écrite, de radio, de télévision ou de web, un sujet peut se traiter. Mais il ne se traite pas de la même manière : je suis désormais capable de mener une interview radiophonique pour avoir un son diffusible, capable d'écrire un article publiable, de préparer un reportage télé dans les normes, de cadrer les interviews, de séquencer mes plans de coupe. Quant au web, j'ai appris à comprendre les différences qui le séparent de la presse écrite : le référencement, l'importance des mots clés et de l'éveil du lecteur, l'importance des outils web tels que les réseaux sociaux... En deux ans, j'ai compris qu'affronter le monde du travail m'obligerait à savoir toucher à chaque média pour créer une force dans ma polyvalence. S'adapter au terrain aussi. Le journalisme ne se vit pas seulement dans un bureau, il se vit sur le terrain. Grâce à trois voire quatre jours par semaine sur le terrain, j'ai appris à découvrir Nice. Je viens du Pas-de-Calais, je n'avais jamais visité Nice avant d'entrer à l'EDJ... Désormais, je connais la capitale azuréenne comme ma poche. Aller sur le terrain de manière régulière permet de comprendre la réalité de la vie, de mieux appréhender certains enjeux : un reportage ne se traite pas de la même manière dans un quartier et dans un autre. Mes deux années rythmées par les médias réels m'ont apporté des qualités d'analyse, afin de mieux comprendre le terrain sur lequel je travaile, mais aussi les individus que je rencontre. S'adapter aux hommes, également. Chaque média, chaque sujet, chaque terrain est différent... Parce que chaque homme est différent. Pour me préparer au monde du travail, pour me préparer à être journaliste, il me fallait comprendre les individus que j'allais quotidiennement rencontrer. À force de travail, de voyages et de rencontres, j'ai compris comment aborder des personnes très différentes. Un politique, un enfant, un sportif, une personne en deuil... Il n'existe pas de manière unique pour rencontrer une personne et pour lui parler, pour réussir à raconter son histoire dans un bon reportage. J'ai développé des outils qui me permettront de me mettre au niveau des interlocuteurs. S'adapter aux situations, finalement. Le journalisme nous oblige à nous adapter, et mes deux années d'EDJ m'ont permis d'appréhender différents terrains. Les conférences de presses, les interviews, les micro-trottoirs... Chacune de ces manières de travailler est différente. Grâce à l'école, j'ai pu toucher ce terrain de près, commencer à être journaliste, à me préparer au marché du travail... Mais ma préparation s'est poursuivie dans une expérience réelle par le biais de mes stages. Durant trois mois (cumulés) chez Virgin Radio Côte d'Azur, j'ai pu rester sur le terrain quotidiennement. Proposer mes sujets, les mener, interviewer, les monter et les passer à l'antenne : j'ai été journaliste pendant ces trois mois. Je me suis préparé à mener des entretiens, des enquêtes, à aller chercher l'information, à m'assumer en tant que journaliste, à n'avoir peur, ni du regard des interlocuteurs, ni des confrères. Ç'a été un grand pas dans ma préparation au marché du travail... Mes armes se sont façonnées pas à pas. Des armes théoriques, des armes pratiques... Mais la principale arme, pour affronter le marché du travail, reste l'expérience. Les stages, les médias réels m'ont permis de développer des qualités en terme de rédaction, de diction, d'appréhension, d'adaptation, de remise à question, de précision, de persévérance ou encore d'ambition. Le marché du travail est difficile. Le taux de chômage est assez élevé, les postes sont chers, les journalistes sont sans cesse remis en question... mais je me sens chaque jour un peu plus prêt à affronter cette réalité. J'ai 24 ans, j'ai déjà affronté le monde du travail dans un milieu assez austère et impitoyable, celui de la grande distribution. Je suis désormais prêt à l'affronter sous la bannière du journalisme. Être journaliste, c'est rendre compte du monde tel qu'il est. Être pertinent, mais être impertinent. Travailler, approfondir, déranger, chercher les informations... L'EDJ ne m'a pas seulement appris à être journaliste, l'EDJ m'a appris à aimer le journalisme. Je suis prêt à tout pour gagner ma place. Pour ce faire, j'ai appris à faire face aux recruteurs, à leur montrer que mon bagage et mes qualités, peuvent faire de moi un élément fiable, travailleur, pertinent, mobile, multisupport et prêt à tout. La route sera longue sur le marché du travail. La carte de presse est difficile à obtenir, un emploi stable est difficilement imaginable au sortir de l'école... Mais le journalisme est un métier dans lequel l'abandon n'a pas sa place. L'école m'y a préparé, il faudra rester humble et donner le meilleur de moi-même pour gravir peu à peu les marches qui me mèneront vers un poste stable dans lequel je m'épanouirai pleinement. Avant cela, l'école m'a appris à être prêt à tout. Prêt à tout essayer, prêt à tout faire, à accepter les reportages que d'autres ne veulent pas, à essayer de comprendre les sujets les plus difficiles, les plus tabous ou les plus compliqués à traiter de manière novatrice. Je suis encore loin d'être un bon journaliste, mais l'école m'a mis à l'épreuve pour m'obliger à étendre mon champ des possibles. Les contraintes m'attendent au début de ma vie de journaliste, je suis prêt à les affronter. Lorsqu'un professeur de télévision me contraint à faire un sujet sur les Ehpad, lorsqu'un professeur de presse écrite m'oblige à rendre un sujet en deux heures, lorsqu'un professeur de radio me demande cinq intervenants, je sais que la mission sera compliquée. Mais lorsqu'ils me la confient, ils savent que ces exigences seront celles de mon futur métier. Les professionnels que j'ai eu la chance de côtoyer m'ont donné certaines clés pour affronter les difficultés quotidiennes auxquelles sont confrontés les journalistes. Accepter l'échec, chercher chaque jour à progresser, me contraindre en temps, me contraindre dans mes choix... Un journaliste ne devient bon que s'il sort de sa zone de confort, c'est ce qu'ont tenté de m'apprendre mes enseignants. Je n'ai plus peur d'affronter le terrain et ses réalités, j'ai appris à traiter des sujets de toutes les sortes, dans tous les médias. C'est pourquoi je pense être quasiment armé pour affronter le marché du travail. Il me manque encore de la pratique, des techniques à acquérir et de l'expérience pour devenir un bon journaliste, mais je pense rapidement devenir un postulant sérieux pour certains emplois. Je suis multisupport, prêt à tout, je pense avoir compris ce qu'est le journalisme, et ce qu'est un journaliste. Je pense en devenir un moi-même lorsqu'on me donnera ma chance, et je suis prêt à la saisir à tout moment. L'EDJ m'a engagé sur la voie du journalisme. Grâce à des professeurs de qualité, j'ai préparé et publié mes premiers reportages en presse écrite, en radio ou en télévision. J'y ai aussi mûri mes qualités rédactionnelles pour devenir journaliste, mais j'y ai aussi travaillé ma culture générale. En politique, en société, en sport... j'ai appris à découvrir le monde sous un autre angle, à l'apprécier et à essayer de le comprendre. Je m'y suis enrichi, professionnellement, mais aussi humainement grâce à un stage aussi exigeant qu'intéressant et formateur chez Virgin Radio Côte d'Azur. Ces deux années m'auront fait grandir, je suis entré étudiant, je suis ressorti journaliste, avec, non plus des camarades de classe, mais des confrères. Ces deux années de Bachelor n'auront pas toujours été simples, mais j'y aurai beaucoup appris, et forgé de vraies amitiés. Quoi qu'il advienne, l'EDJ aura marqué ma mémoire et ma carrière.
Étudiant

"L'école du nouveau journalisme. Des étudiants talentueux, de la concurrence positive. On en apprend chaque jour !"
Etudiant, Promo 2018

Les études, c'est du passé, maintenant place au travail. Plus que quelques semaines avant la fin de mon stage de six mois, je croise les doigts pour trouver rapidement un emploi. Je suis consciente que le métier de journaliste est très demandé, de ce fait les places se font chères. Mais je ne pense pas au négatif. Je vais tout faire pour réussir à décrocher un job, le job que j'ai toujours voulu faire. L'EDJ ne m'a pas aidé à trouver ce stage. J'ai eu l’opportunité grâce à l'école. Cependant, je souhaite réussir par mes propres moyens. C'est pourquoi, dès que j'ai su que j'allais réaliser un stage de fin d'études, je me suis débrouillée à le décrocher toute seule. Chose faite. En revanche, l’École du Journalisme permet d'intégrer le marché du travail. La preuve, sans un enseignement et des simulations d'entretien d'embauche, je n'aurais peut-être pas été capable de séduire les personnes qui me faisaient passer l'entretien en mai dernier. Cette débrouillardise, je l'ai amélioré au fur et à mesure de ces trois années à l'EDJ. Notamment, grâce aux reportages que je réalisais. Il faut toujours réussir à trouver une solution dans le journalisme, et cela, je l'ai bien compris. Je me sens prête à postuler partout. Que ce soit en France, et même à l'étranger. J'ai envie de travailler pour un média qui me plaît, qui me correspond. Pour cela, je devrais faire des concessions, mais cela ne me fait pas peur. L'école m'a aussi apporté un élément primordial peut être sur le marché du travail : la maturité. Les années passent, et je me rends compte que je suis davantage mature. En arrivant en première année, je n'avais pas la même vision du journalisme. Désormais, je sais ce que je veux et je l'aurais. Je me sens très à l'aise dans les médias proposant un support d'audio-visuel. Dans mon élément face à une caméra ou devant un micro, j'ai l'ambition de devenir présentatrice.
Etudiant, Promo 2018

Mes trois années à l’École de Journalisme de Nice sont passées à une vitesse fulgurante. J’ai l’impression que le séminaire de rentrée de première année avait lieu il y a encore quelques semaines. Nous observions à l’époque des visages qui nous sont familiers aujourd’hui. Pourtant le temps a bien passé depuis et avec le recul, je constate que j’ai bien évolué, tant sur le plan de la maturité que dans mes connaissances et ma façon d’aborder mon métier. Ce que je suis maintenant, je le dois à mon investissement, mais avant tout à ceux qui m’ont permis de m’épanouir et de me développer. L’EDJ de Nice possède une équipe pédagogique proche de ses étudiants, à leur écoute et qui sait s’adapter aux besoins hétérogènes de chaque promotion. Les professeurs qui y dispensent leurs savoirs possèdent tous autant de capacités et une expérience professionnelle qui n’est plus à prouver.
Les avis et témoignages des enseignants sur l’EDJ
Thierry Apparu

Le métier de journaliste nous confronte à tous les types de situations, heureuses ou malheureuses, jubilatoires ou atterrantes, en multipliant les rencontres et les personnalités auxquelles il faut s'adapter, les cadres toujours différents dans lesquels se fondre, les ressources et les astuces à mettre en œuvre pour obtenir l'information à mettre en forme. Ce métier nous offre aussi la possibilité d'exercer une très grande variété de fonctions, reporter, présentateur et rédacteur en chef sur des supports très différents. Des fonctions aux spécificités propres et, plus encore aujourd'hui avec le développement des technologies numériques, des fonctions à exercer face à une camera ou derrière celle-ci, dans un studio de radio ou penché sur un clavier d'ordinateur. J'enseigne pour former à ces diversités, pour préparer les étudiants à ces techniques, mais aussi à ces remises en question permanentes liées à un métier évolutif et donc formidable par la richesse de ce qu'il nous offre d'inédit quasi quotidiennement. J'ai appris tout cela "sur le tas", en particulier lorsque très jeune j'ai rencontré quelques journalistes formidables, dont certains ont enseigné à l'EDJ. Ils m'ont appris et donc permis d'exercer mon métier. C'est bien la moindre des choses, à mon tour, de partager ces quelques connaissances aujourd'hui avec les étudiants.
Pierre-Louis Castelli

Après trente ans de radio me voilà donc enseignant à l'Ecole du Journalisme de Nice . trente ans passés sur le terrain comme reporter à la rencontre des gens connus ou méconnus, trente ans de découverte. Enseignant à l’EDJ, j'éprouve la même passion en allant à la rencontre des étudiants qui seront je l'espère de bons journalistes. Avec les étudiants, le journaliste que je continue d'être, apprend à être à l'écoute d'une nouvelle génération qui vit avec internet et les réseaux sociaux ; ou l'information arrive directement et à toute heure sur le portable. Avec ces étudiants je reprends les bases du métier de journaliste , rigueur, découverte passion et disponibilité. A l'école de Nice j'ai découvert des amis enseignants plein de richesse , une équipe de direction à l'écoute des étudiants et des professeurs . Venez nous rejoindre vous ne serez pas déçus ....
MICHEL CHEVALET, Journaliste

En 1993 : "J'ai voulu insuffler aux étudiants ma passion de la vie et ma curiosité pour le monde qui nous entoure. Si j'ai contribué à les rendre curieux, je suis le plus heureux des profs !"
Edward Kennedy – Professeur d’émissions de radios et de débats en anglais

"En tant que professeur à cette école depuis 3 ans, je peux vous dire avec certitude que cette école est exceptionnelle. Elle met l’accent sur la pratique, ce qui n’est pas le cas dans toutes les autres écoles, et cela permet aux étudiants de vivre au quotidien le métier du journalisme ainsi que d’apprendre à bien parler l’anglais et l’utiliser dans leurs projets journalistiques. // Great school. I recommend highly to anyone to come and study here. You will have a great experience and learn professional journalism at the same time."
La réputation de l’EDJ
Kevin D. Etudiant

Votre école, je l'ai découverte lors d'une journée portes ouvertes, ce jour-là deux élèves de votre établissement avaient présenté un JT en direct et je me suis tout de suite dit que je voulais faire ça. Les prestigieux parrains que l'EDJ compte parmi elle m'ont également conforté dans l'idée de candidater pour le Master de Journalisme Générale. Ce métier fonctionne avec des contacts et se confectionner son propre carnet d'adresses est primordial. Votre établissement me sera d'une grande aide pour cela. De plus, les stages de deux à quatre mois obligatoires que l'on peut suivre en France ou à l'étranger en première et deuxième année de mastère sont également un précieux argument dans le choix d'une école de journalisme. Les cours à la fois théoriques et pratiques me semblent être très instructifs, enrichissants et diversifiés à la fois. L'apprentissage des outils spécifiques du journalisme, c'est ce que l'université ne nous apporte malheureusement pas. Assoiffé de connaissances, les cours de culture générale sont une excellente nouvelle pour moi.
Étudiant

"Des professeurs véritablement passionnés par leurs matières qui nous donnent l'ambition et l'envie de réussir dans ce métier."
Étudiant

"Une école qui brille par l’excellence de ses enseignements. Un vrai réseau professionnel à la sortie d’étude grâce aux profs qui, en plus d’être des mentors extraordinaires, poussent leurs élèves vers le haut en leur proposant régulièrement des stages dans leur rédactions respectives. Je suis arrivé étudiant à l’EDJ, j’en ressort journaliste et fier de pouvoir pratiquer ce beau métier aujourd’hui."
Fabienne Gardon – Professeur de Voix, Souffle et Respiration

"Une école d’excellence avec une direction et une équipe pédagogique très compétente à l’écoute des étudiants. Cet établissement peut être fier de former de très nombreux journalistes qui font de belles carrières"
Ils racontent… leur passion pour le métier
Étudiant

"L'EDJ a été le tremplin pour que j'atteigne mon rêve. Avec son équipe et ses professeurs, j'ai tellement appris. Je ne peux exprimer ma gratitude envers toutes ces personnes qui ont été les pièces maitresses de cette expérience magnifique. J'ai appris à écrire, à me servir d'une caméra, à monter un reportage radio, à réaliser une interview, et tant d'autres choses ! C'est plus que ce je n'aurais pu imaginer.Je vous garde tous dans mon coeur. MERCI."
Candidat, Promo 2018

Ce qui me plaît dans le journalisme est l'aspect culture générale, la nécessaire curiosité face aux évènements et aussi le fait de devoir être prêt à tout moment pour couvrir toutes les actualités possibles.
Candidate, Promo 2018

Contrairement à d'autres, l'idée d'étudier le journalisme m'est venu à un âge mature, en effet, je ne préparais pas le baccalauréat adéquat et j'avais l'intention d'étudier les langues puis j'ai trébuché sur le journalisme pendant un moment qui ressemblait a une épiphanie, et j'ai réalisé que cela avait toujours été une vocation enfouis au fond de moi. J'ai eu cette confirmation lors d'un de mes stages que j'ai réalisé au sein d'un quotidien régional.
Candidate, Promo 2018

La plupart des étudiants de France sont hésitants quant à leur avenir, alors que le mien était réfléchis et décidé depuis longtemps. En effet, depuis mon plus jeune âge, devenir journaliste est mon rêve. J'ai toujours aimé écrire : dès mon enfance, et même encore à l'adolescence, j'ai écrit des petites histoires. Mon goût pour l'information est tel que je me suis souvent filmé en me mettant dans la peau d'un présentateur TV. Je suis tout particulièrement intéressée par l'histoire, la géopolitique, mais aussi la culture, l'économie, le sport. Ce qui fait de moi une personne ouverte d'esprit, un atout capital pour ce domaine. Être journaliste, est un métier de multiples fonctions où nous devons être attentifs, intéressées à tous les sujets, mais aussi être présent sur tous les terrains qui vont de la presse écrite aux réseaux sociaux. Écrire, interviewer, débattre, analyser, filmer, photographier : tout cela représente ce que je souhaite faire au quotidien et tout au long de ma carrière professionnelle.