Les avis sur l’EDJ NICE et ses formations

Les avis du milieu professionnel sur l’EDJ
DONAT VIDAL REVEL

L’EDJ a réussi à m'apprendre à me faire confiance en me donnant les clés de lecture de l'information.
MICHAEL LEFEBVRE

L'EDJ, c'est mes premiers reportages sur le terrain. C'est une école où l'on donne une large place à l'apprentissage par la pratique. L'enseignement est très proche de ce qui est maintenant ma réalité de journaliste.
ROLAND FAURE – Journaliste et parrain d’honneur de l’EDJ

Lors de l'inondation des locaux en 1992 : "Heureusement, notre métier est une leçon permanente d'humilité... Qui compensera l'honneur (ressenti) d'écrire ces quelques mots dans une salle qui porte mon nom."
PATRICIA NAVARRO, Journaliste et ancienne étudiante de l’EDJ (Promo 1994)

"Un retour en arrière bien agréable ! C'est là que tout a commencé, c'est ici, à "Nouvelles", que l'on m'a donné les clés pour rentrer dans cet univers dont j'avais tant rêvé. J'espère que mon expérience servira à tous mes futurs confrères. Je les attends avec impatience pour pouvoir partager avec eux ces incomparables moments de bonheur intenses propres à ce fabuleux métier : JOURNALISTE !"
Les avis des étudiants sur l’EDJ
Etudiant, promo 2017

À 18 ans, il est difficile de savoir ce que l'on veut faire plus tard. Mes trois ans à l'EDi m'ont permis de confirmer mon choix : je veux être journaliste. Pendant mes études, j'ai rencontré des professeurs passionnés et passionnants, poussés par une équipe directionnelle dynamique, qui en veut et qui transmet la passion qui la guide. Mes professeurs, en plus d'être professionnels et sympathiques, m'ont donné envie de travailler et de réussir. Grâce à eux, j'ai assisté à des cours vivants, dynamiques avec ïdes étudiants débordants d'énergie. L'ambiance de classe a toujours été amicale et travailleuse, ce qui m'a poussé à me dépasser et à faire de mon mieux. J'ai tout donné r parce qu'on m'a tout donné. Ce n'est qu'un juste revers des choses. Mais le travail ne fait pas tout. Comment témoigner de mes années EDJ sans évoquer les rencontres ? J'ai vécu les meilleurs moments de ma vie dans cette école, parce que j'ai rencontré des amis que j'espère bien garder. Grâce à eux, j'ai pu m'épanouir. On a appris ensemble. On a traversé les bons et les mauvais moments ensemble. Ils étaient là quand j'avais besoin d'eux. Quand je pensais que j'allais foncer dans le mur. Ces trois années à l'EDJ n'auraient pas été pareilles sans eux. Et une chose est sûre : jamais je ne pourrai oublier ceux qui m'ont poussée à devenir celle que j'ai finalement toujours voulu être : une journaliste. Merci.
Etudiant, promo 2018

Me voici à la fin de deux années intensives à l'École Du Journalisme. En parallèle, j'ai continué mon activité de « rédacteur web » sur MadeInFOOT.com afin de me préparer au mieux à poursuivre ma professionnalisation. Dans cet objectif, l'EDJ m'a beaucoup servi, en alliant cours théoriques et médias réels. Être armé pour affronter le marché du travail, lorsqu'on veut être journaliste, c'est être capable de s'adapter. S'adapter au sujet, tout d'abord. Depuis deux ans, j'ai pu élargir ma culture générale. Travailler l'économie, les sciences sociales, la politique... puis me spécialiser en sport et appréhender le traitement des sports renommés, les « sports majeurs » mais aussi les sports confidentiels, dits « mineurs ». Ma formation m'a aussi permis d'appréhender les aspects judiciaires de mon futur travail, qu'il s'agisse de droit de la presse ou de droit du sport : j'ai désormais quelques outils pour aborder des sujets épineux, ou spécialisés. S'adapter au média, ensuite. Le journaliste est voué à bouger. À évoluer, aussi. Je ne peux que difficilement m'imaginer une carrière linéaire, dans un média ou un autre. Durant ces deux années, j'ai appris à devenir multisupport. Qu'il s'agisse de presse écrite, de radio, de télévision ou de web, un sujet peut se traiter. Mais il ne se traite pas de la même manière : je suis désormais capable de mener une interview radiophonique pour avoir un son diffusible, capable d'écrire un article publiable, de préparer un reportage télé dans les normes, de cadrer les interviews, de séquencer mes plans de coupe. Quant au web, j'ai appris à comprendre les différences qui le séparent de la presse écrite : le référencement, l'importance des mots clés et de l'éveil du lecteur, l'importance des outils web tels que les réseaux sociaux... En deux ans, j'ai compris qu'affronter le monde du travail m'obligerait à savoir toucher à chaque média pour créer une force dans ma polyvalence. S'adapter au terrain aussi. Le journalisme ne se vit pas seulement dans un bureau, il se vit sur le terrain. Grâce à trois voire quatre jours par semaine sur le terrain, j'ai appris à découvrir Nice. Je viens du Pas-de-Calais, je n'avais jamais visité Nice avant d'entrer à l'EDJ... Désormais, je connais la capitale azuréenne comme ma poche. Aller sur le terrain de manière régulière permet de comprendre la réalité de la vie, de mieux appréhender certains enjeux : un reportage ne se traite pas de la même manière dans un quartier et dans un autre. Mes deux années rythmées par les médias réels m'ont apporté des qualités d'analyse, afin de mieux comprendre le terrain sur lequel je travaile, mais aussi les individus que je rencontre. S'adapter aux hommes, également. Chaque média, chaque sujet, chaque terrain est différent... Parce que chaque homme est différent. Pour me préparer au monde du travail, pour me préparer à être journaliste, il me fallait comprendre les individus que j'allais quotidiennement rencontrer. À force de travail, de voyages et de rencontres, j'ai compris comment aborder des personnes très différentes. Un politique, un enfant, un sportif, une personne en deuil... Il n'existe pas de manière unique pour rencontrer une personne et pour lui parler, pour réussir à raconter son histoire dans un bon reportage. J'ai développé des outils qui me permettront de me mettre au niveau des interlocuteurs. S'adapter aux situations, finalement. Le journalisme nous oblige à nous adapter, et mes deux années d'EDJ m'ont permis d'appréhender différents terrains. Les conférences de presses, les interviews, les micro-trottoirs... Chacune de ces manières de travailler est différente. Grâce à l'école, j'ai pu toucher ce terrain de près, commencer à être journaliste, à me préparer au marché du travail... Mais ma préparation s'est poursuivie dans une expérience réelle par le biais de mes stages. Durant trois mois (cumulés) chez Virgin Radio Côte d'Azur, j'ai pu rester sur le terrain quotidiennement. Proposer mes sujets, les mener, interviewer, les monter et les passer à l'antenne : j'ai été journaliste pendant ces trois mois. Je me suis préparé à mener des entretiens, des enquêtes, à aller chercher l'information, à m'assumer en tant que journaliste, à n'avoir peur, ni du regard des interlocuteurs, ni des confrères. Ç'a été un grand pas dans ma préparation au marché du travail... Mes armes se sont façonnées pas à pas. Des armes théoriques, des armes pratiques... Mais la principale arme, pour affronter le marché du travail, reste l'expérience. Les stages, les médias réels m'ont permis de développer des qualités en terme de rédaction, de diction, d'appréhension, d'adaptation, de remise à question, de précision, de persévérance ou encore d'ambition. Le marché du travail est difficile. Le taux de chômage est assez élevé, les postes sont chers, les journalistes sont sans cesse remis en question... mais je me sens chaque jour un peu plus prêt à affronter cette réalité. J'ai 24 ans, j'ai déjà affronté le monde du travail dans un milieu assez austère et impitoyable, celui de la grande distribution. Je suis désormais prêt à l'affronter sous la bannière du journalisme. Être journaliste, c'est rendre compte du monde tel qu'il est. Être pertinent, mais être impertinent. Travailler, approfondir, déranger, chercher les informations... L'EDJ ne m'a pas seulement appris à être journaliste, l'EDJ m'a appris à aimer le journalisme. Je suis prêt à tout pour gagner ma place. Pour ce faire, j'ai appris à faire face aux recruteurs, à leur montrer que mon bagage et mes qualités, peuvent faire de moi un élément fiable, travailleur, pertinent, mobile, multisupport et prêt à tout. La route sera longue sur le marché du travail. La carte de presse est difficile à obtenir, un emploi stable est difficilement imaginable au sortir de l'école... Mais le journalisme est un métier dans lequel l'abandon n'a pas sa place. L'école m'y a préparé, il faudra rester humble et donner le meilleur de moi-même pour gravir peu à peu les marches qui me mèneront vers un poste stable dans lequel je m'épanouirai pleinement. Avant cela, l'école m'a appris à être prêt à tout. Prêt à tout essayer, prêt à tout faire, à accepter les reportages que d'autres ne veulent pas, à essayer de comprendre les sujets les plus difficiles, les plus tabous ou les plus compliqués à traiter de manière novatrice. Je suis encore loin d'être un bon journaliste, mais l'école m'a mis à l'épreuve pour m'obliger à étendre mon champ des possibles. Les contraintes m'attendent au début de ma vie de journaliste, je suis prêt à les affronter. Lorsqu'un professeur de télévision me contraint à faire un sujet sur les Ehpad, lorsqu'un professeur de presse écrite m'oblige à rendre un sujet en deux heures, lorsqu'un professeur de radio me demande cinq intervenants, je sais que la mission sera compliquée. Mais lorsqu'ils me la confient, ils savent que ces exigences seront celles de mon futur métier. Les professionnels que j'ai eu la chance de côtoyer m'ont donné certaines clés pour affronter les difficultés quotidiennes auxquelles sont confrontés les journalistes. Accepter l'échec, chercher chaque jour à progresser, me contraindre en temps, me contraindre dans mes choix... Un journaliste ne devient bon que s'il sort de sa zone de confort, c'est ce qu'ont tenté de m'apprendre mes enseignants. Je n'ai plus peur d'affronter le terrain et ses réalités, j'ai appris à traiter des sujets de toutes les sortes, dans tous les médias. C'est pourquoi je pense être quasiment armé pour affronter le marché du travail. Il me manque encore de la pratique, des techniques à acquérir et de l'expérience pour devenir un bon journaliste, mais je pense rapidement devenir un postulant sérieux pour certains emplois. Je suis multisupport, prêt à tout, je pense avoir compris ce qu'est le journalisme, et ce qu'est un journaliste. Je pense en devenir un moi-même lorsqu'on me donnera ma chance, et je suis prêt à la saisir à tout moment. L'EDJ m'a engagé sur la voie du journalisme. Grâce à des professeurs de qualité, j'ai préparé et publié mes premiers reportages en presse écrite, en radio ou en télévision. J'y ai aussi mûri mes qualités rédactionnelles pour devenir journaliste, mais j'y ai aussi travaillé ma culture générale. En politique, en société, en sport... j'ai appris à découvrir le monde sous un autre angle, à l'apprécier et à essayer de le comprendre. Je m'y suis enrichi, professionnellement, mais aussi humainement grâce à un stage aussi exigeant qu'intéressant et formateur chez Virgin Radio Côte d'Azur. Ces deux années m'auront fait grandir, je suis entré étudiant, je suis ressorti journaliste, avec, non plus des camarades de classe, mais des confrères. Ces deux années de Bachelor n'auront pas toujours été simples, mais j'y aurai beaucoup appris, et forgé de vraies amitiés. Quoi qu'il advienne, l'EDJ aura marqué ma mémoire et ma carrière.
Étudiant, Promo 2020

"Je tiens à remercier l'école pour tout ce qu'elle m'a apporté, de par les connaissances journalistiques et de m'avoir permis d'évoluer en tant que personnes."
Étudiant

"En fin de cycle avec l'EDJ, j'éprouve évidemment de la fierté d'être arrivé au bout du chemin."
Les avis et témoignages des enseignants sur l’EDJ
Jimmy Boursicot

Professeur à l'EDJ ? Lorsque l'encadrement a décidé de me faire confiance il y a quelques mois, je n'ai pas hésité très longtemps. Relayer l'information, partager des moments de vie, des émotions, c'est tout ce qui donne du sens à notre métier. Alors, quand on a l'occasion de transmettre humblement ce que l'on nous a appris sur le terrain, là où personne ne peut tricher, il est impossible de refuser. Au fil des semaines, j'ai découvert des élèves attentifs, désireux de progresser et de s'approcher toujours un peu plus du niveau professionnel. Chargé de leur enseigner une technique relativement nouvelle, celle du commentaire sportif en direct sur internet, je me suis trouvé face à un vrai challenge : parvenir à capter l'attention d'un groupe où les sensibilités, les centres d'intérêt et les aspirations sont multiples. Se remettre perpétuellement en question, s'adapter, savoir se renouveler… Plus qu'une méthode, voilà ce que j'aimerais inculquer à cette génération dont je me sens proche. Bientôt, ces étudiants intégreront des rédactions, aborderont les mêmes défis, rencontreront les mêmes obstacles et connaîtront les mêmes joies que celles que j'ai déjà pu vivre. Les voir évoluer dans ce milieu, en ayant l'espoir d'avoir eu une petite part de responsabilité dans leur progression, sera à coup sûr une grande satisfaction.
Marie Boselli

J’enseigne depuis 20 ans à l’EDJ, tout en en assurant la direction. J’ai pu, au fil du temps, adapter ma pédagogie aux évolutions très rapides de ce métier. Chaque année différent, chaque année nouveaux, mes cours naissent, je les teste, les modifie, puis je les confie à d’autres enseignants… La pédagogie est une vraie passion, un partage, une émotion sans cesse renouvelée. En début d’année universitaire, avec chaque nouvelle promotion, je me dis : je ne vais jamais y arriver ! Et puis j’y arrive, aidée par l’équipe pédagogique, des profs passionnés, pleins de fougue et d’envie de bien faire, plein d’inventivité, on y arrive ! Et bien sûr, les grands gagnants de notre aventure sont nos étudiants ! Je me souviens de chacun d’eux, de leurs facilités, de leurs doutes, de leurs progrès… Mon plus beau cadeau est, ensuite, d’entendre leur nom en signature d’un papier ou d’un reportage. J’avoue que je suis très, mais alors très fière de leur réussite, qui dès lors, devient un peu la mienne !
MICHEL CHEVALET, Journaliste

En 1993 : "J'ai voulu insuffler aux étudiants ma passion de la vie et ma curiosité pour le monde qui nous entoure. Si j'ai contribué à les rendre curieux, je suis le plus heureux des profs !"
Fabienne Gardon – Professeur de Voix, Souffle et Respiration

"Une école d’excellence avec une direction et une équipe pédagogique très compétente à l’écoute des étudiants. Cet établissement peut être fier de former de très nombreux journalistes qui font de belles carrières"
La réputation de l’EDJ
Étudiant

"Des professeurs véritablement passionnés par leurs matières qui nous donnent l'ambition et l'envie de réussir dans ce métier."
Sami B. Etudiant

J'ai effectué des recherches sur internet pour trouver quelle école de journalisme correspondrait le mieux à mes attentes, et c'est votre école, l'École du Journalisme de Nice qui a retenu toute mon attention. Votre établissement propose une formation sérieuse et complète qui est dispensée par des professeurs qui sont eux-mêmes des professionnels du journalisme, avec des stages qui permettent d'apprendre le métier sur le terrain. De plus, l'école est reconnue par l’État, ce qui représente un gage de sérieux et de confiance.
Camille C. Etudiante

Je suis également enthousiaste de découvrir de nouvelles matières et de pouvoir participer et m'impliquer dans le domaine journalistique : acquérir de nouvelles connaissances fondamentales et méthodes de travail propres à la discipline du journalisme, avoir un accès à un premier savoir des pratiques professionnelles et les moyens de s'orienter vers des cursus de dimension internationale.
Esketu.G

"Les professeurs sont bons et transmettent l'amour de leur métier."
Ils racontent… leur passion pour le métier
Candidate, Promo 2018

Quel plaisir de se déplacer sur le terrain, rencontrer du monde, être au cœur de l'actualité tout en ayant la chance de découvrir de nouvelles choses. Ce métier correspond à tout ce que j'ai toujours recherché. Chaque jour un sujet différent à traiter, et parfois un travail d'investigation de longue durée. Malgré les difficultés auxquelles on peu être confronté, être journaliste est un enrichissement quotidien. C'est aussi du partage, des moments inoubliables et surtout un travail de transmission, car l'information on ne le garde pas, on la partage avec les lecteurs, les auditeurs, et les téléspectateurs.
Candidat, Promo 2018

Dans un monde où les médias sont omniprésents et où la communication est de plus en plus, importante, les journalistes ont des responsabilités et des rôles à assurer auxquels je suis sensibilisée. Ils doivent rester objectifs et fiables dans leurs propos et leurs écrits afin de ne pas induire leur public en erreur. Ils doivent aussi éduquer la population à développer un certain esprit critique vis - à - vis de tout ce qu'elle peut entendre ou tire afin de limiter l'influence malsaine que peuvent avoir des personnalités sur elle. Je souhaiterais alors exercer cette profession puisqu'elle est essentielle à la société pour décider de ce qu'elle veut réellement, et ainsi lui procurer une certaine indépendance par le biais de l'information.
Étudiant

"Grâce à mes trois ans à l'EDJ j'ai pu faire trois stages différents. Tous m'ont apporté quelque chose et m'ont fait devenir meilleure, plus responsable et plus à l'écoute. Grâce au dernier, je sais quelle voie je veux prendre prendre et quel domaine je veux me spécialiser : le journalisme féminin. J'ai réussi à décrocher un stage au sein d'un grand groupe de mode . C'est une réelle fierté et je le dois à mon travail, mais aussi et surtout à ma formation à l'EDJ. Mon rêve de petite fille va se réaliser et j'espère que j'en serai à la hauteur. Vivre de ma passion est le plus beau cadeau que je pouvais avoir et pour cela, je remercie l'EDJ et toute son équipe qui a toujours été là pour m'aider et me pousser dans mes choix. Je suis fière d'avoir fait partie de cette école et d'en être sortie avec un stage passionnant."
Candidate, Promo 2018

Contrairement à d'autres, l'idée d'étudier le journalisme m'est venu à un âge mature, en effet, je ne préparais pas le baccalauréat adéquat et j'avais l'intention d'étudier les langues puis j'ai trébuché sur le journalisme pendant un moment qui ressemblait a une épiphanie, et j'ai réalisé que cela avait toujours été une vocation enfouis au fond de moi. J'ai eu cette confirmation lors d'un de mes stages que j'ai réalisé au sein d'un quotidien régional.
