Depuis plus de 30 ans, l’EDJ de Nice forme des journalistes de terrain qui intègrent les plus grands médias français et internationaux.
L’EDJ ne se contente pas d’enseigner les bases théoriques du journalisme. Ici, on apprend en faisant. L’approche repose avant tout sur la mise en pratique, avec des semaines intensives, des exercices en conditions réelles et une immersion constante dans l’univers médiatique. Accessible directement après le baccalauréat, la première année est immersive, exigeante et surtout formatrice : les étudiants réalisent des reportages, couvrent des événements sportifs ou culturels et se confrontent directement aux exigences du métier.
L’un des gros atouts de l’école, c’est aussi son réseau. Stages, alternances, opportunités professionnelles… Chaque année, près d’une centaine d’étudiants intègrent des rédactions, des radios, des chaînes de télévision et des médias numériques. Un véritable tremplin pour l’emploi.
DES ANCIENS DEVENUS DES RÉFÉRENCES
Depuis sa création, l’école a vu passer des centaines de journalistes qui évoluent aujourd’hui dans les plus grands médias français et internationaux. Parmi eux, certains sont devenus des références.
Difficile de ne pas citer Olivier Corriez, diplômé de la première promotion en 1992, aujourd’hui journaliste chez TF1 et LCI. Son parcours illustre bien ce que l’EDJ cherche à transmettre : professionnalisme, rigueur et capacité d’adaptation.
Dans le domaine du journalisme sportif, Candice Rolland est une autre fierté de l’école. Sa voix, vous la connaissez forcément. Elle est aujourd’hui l’une des commentatrices phares du football sur L’Équipe. Son ton passionné et sa rigueur journalistique ont fait d’elle une référence dans son domaine.
D’autres anciens élèves ont également réussi à s’imposer dans des rédactions influentes. Nicolas Pelletier est aujourd’hui un journaliste reconnu de RMC Sport, où il couvre généralement les enquêtes judiciaires liées au football. Maxime Monthioux, lui, a intégré Eurosport, où il commente notamment le tennis, tout en étant pigiste pour RMC Sport et L’Équipe.
Mais l’EDJ ne se limite pas au journalisme sportif. L’école a aussi formé des journalistes politiques, culturels et d’investigation qui travaillent aujourd’hui dans de grands médias comme BFM TV, TF1 ou encore Le Figaro. À une époque où le digital prend de plus en plus de place dans le journalisme, l’EDJ a su s’adapter en intégrant les réseaux sociaux et les nouveaux formats à son programme.
L’EDJ entretient d’ailleurs un lien fort avec ses anciens élèves grâce à son association Alumni, un réseau professionnel qui permet aux diplômés de rester connectés et de créer des opportunités entre générations. L’EDJ convie régulièrement ses anciens pour des partages d’expérience auprès de leurs futurs successeurs.
UN TREMPLIN POUR L’AVENIR
Avec une approche terrain, un réseau solide et un suivi personnalisé, l’EDJ constitue un véritable tremplin pour les futurs journalistes.
L’objectif est clair : former des professionnels capables d’informer, d’analyser et de décrypter l’actualité avec rigueur et passion.
Alors, qu’attendez-vous pour nous rejoindre ?
Walid SOLTANI
