Les avis sur l’EDJ NICE et ses formations

Les avis du milieu professionnel sur l’EDJ
Laurent GOUIN – Eurograph Communication

"D’un véritable professionnalisme, EDj a toujours été la structure sur laquelle notre entreprise s’est engagée pour engager des jeunes en devenir, et c’est un véritable sans faute depuis toutes ces années…. Bravo à toute l’equipe et rdv en 2023 pour pérenniser cette très belle collaboration…"
Pauline Arnal, Responsable éditorial de Stylist France et ancienne de l’EDJ

"J’ai étudié dans cette école il y a plus de 10 ans et j’ai reçu plusieurs stagiaires des nouvelles promos ces dernières années. Le niveau est toujours aussi bon et le cursus permet REELLEMENT de se rendre compte de la réalité du marché. Personne ne nous ment sur la difficulté du métier et des choses à faire pour arriver au meilleur niveau. Que du positif a dire sur cet établissement !"
IVAN LEVAÏ, Journaliste et parrain 1996 de l’EDJ

Lors d'une conférence en 1995 : "Merci à l'incroyable "corporation" en formation et mouvement, capable de rester attentive, gravement... 3 heures durant. Ceux-là, ne "zapperont" pas et creuseront... le sillon. Bourdieu a raison : la corporation est forte, les journalistes sont fragiles. Puissent les promotions 1996 être fortes... Fortes... Grâce aux "Nouvelles"."
MICHEL BASSI, Journaliste et parrain 1995 de l’EDJ

En 1991, lors d'une conférence à l'école : "Vos étudiants m'ont épuisé... Je ne sais quoi leur dire, sinon ceci : à voir leur enthousiasme, et à écouter leur sincérité, je me suis trouvé très fier d'être un journaliste. Alors merci."
Les avis des étudiants sur l’EDJ
Étudiant, Promo 2023

"Je suis content de pouvoir participer à la vie du club ( Club de handball ASBTP Nice) Je suis arrivé il y a un an et j'ai l'impression d'y être depuis toujours"
Étudiant

"Ces trois années de formation m'ont permis de grandir et de mûrir. D"avoir de l'expérience et gagner en assurance. Grâce à ces trois années, j'ai appris à me débrouiller par moi-même ou en équipe (lors des projets de groupe)."
Étudiant

"C'est une école qui nous apprend le quotidien et la réalité du métier de journaliste avec des professeurs certes exigeants mais passionnés et humains"
Etudiant, promo 2018

Je suis arrivé à l’EDJ avec un ami. Nous avions tous deux échappé au naufrage de notre précédente école de journalisme à Toulouse. Première année, seconde, troisième, ce qu’il se disait était terriblement vrai : ça passe si vite… Tout le monde me l’avait dit et je crois même me souvenir que c’est la première phrase que nous a adressée Marie Boselli en parlant de notre formation ! Dès le premier jour nous avions sympathisé avec nos camarades, et nous avions même poursuivi la socialisation sur la plage pour une soirée mémorable, la première d’une longue série. Je me souviendrais ainsi de mes camarades avec qui j’ai échangé, de la bière aux discussions plus sérieuses, trois belles années d’études supérieures. Le stage à BFM TV a été le plus riche humainement parlant. Simplement, c’était un milieu que je ne connaissais pas et c’est précisément cela que j’ai trouvé excitant et challengeant. C’était un gros média et la sensation d’être dans la cour des grands était grisante, c’était surtout palpable lors des gros coups d’actus. L’EDJ est une petite famille en fait. On se connaît tous. Et c’est cette échelle humaine qui était selon moi le plus appréciable. J’y ai rencontré des enseignants qui m’ont marqué : Mauro, Zerbib, Lebsir, Poulain, Castelli, Ruiz notamment, des gens avec une vraie passion pour leur métier, remarquables donc. Nice est une superbe ville, plus largement, la région est magnifique. Si le Pays Basque reste ma terre de cœur, la côte d’Azur est une bien belle terre d’adoption. Parce que j’y ai retrouvé des éléments culturels proches de chez moi, je m’y suis senti comme chez moi justement. Ce dernier long format en web et ces belles soirées passées avec les Niçois à apprendre le Nissart, chanter des chants traditionnels, boire de la gratta m’ont énormément plu. Un régionalisme pour en comprendre un autre en somme. Ce furent trois belles années. Merci à toutes et à tous, enseignants, camarades, intervenants, membres de la direction et comme on dit chez moi : Agur ! (au revoir).
Les avis et témoignages des enseignants sur l’EDJ
Christian Bidégaray

Enseigner à l’EDJ, école en pleine expansion, c’est, pour un universitaire, d’abord découvrir une institution dynamique à la pointe des nouvelles technologies de l’information et de la communication. C’est également l’opportunité de s’adresser à de petits groupes d’une trentaine de jeunes gens attentifs, motivés, et désireux d’acquérir à la fois une formation intellectuelle et professionnelle. Tous ces éléments donnent à l’enseignant la possibilité d’être à l’écoute de ses étudiants, de les corriger, de les conseiller, voire de les orienter - opportunités que l’enseignement universitaire n’offre pas toujours du fait du grand nombre. C’est également la possibilité d’innover et de se renouveler par un enseignement interactif et de découvrir auprès de journalistes professionnels de nouvelles méthodes et de nouvelles manières d’appréhender les grands problèmes contemporains. C’est enfin la chance pour un politiste d’être quotidiennement en phase avec l’actualité dans un cadre chaleureux et propice aux échanges entre générations.
Jimmy Boursicot

Professeur à l'EDJ ? Lorsque l'encadrement a décidé de me faire confiance il y a quelques mois, je n'ai pas hésité très longtemps. Relayer l'information, partager des moments de vie, des émotions, c'est tout ce qui donne du sens à notre métier. Alors, quand on a l'occasion de transmettre humblement ce que l'on nous a appris sur le terrain, là où personne ne peut tricher, il est impossible de refuser. Au fil des semaines, j'ai découvert des élèves attentifs, désireux de progresser et de s'approcher toujours un peu plus du niveau professionnel. Chargé de leur enseigner une technique relativement nouvelle, celle du commentaire sportif en direct sur internet, je me suis trouvé face à un vrai challenge : parvenir à capter l'attention d'un groupe où les sensibilités, les centres d'intérêt et les aspirations sont multiples. Se remettre perpétuellement en question, s'adapter, savoir se renouveler… Plus qu'une méthode, voilà ce que j'aimerais inculquer à cette génération dont je me sens proche. Bientôt, ces étudiants intégreront des rédactions, aborderont les mêmes défis, rencontreront les mêmes obstacles et connaîtront les mêmes joies que celles que j'ai déjà pu vivre. Les voir évoluer dans ce milieu, en ayant l'espoir d'avoir eu une petite part de responsabilité dans leur progression, sera à coup sûr une grande satisfaction.
Catherine Bonifassi

En tant que rédactrice en chef, je recevais plusieurs fois par an des étudiants de l’Ecole Nouvelles en stage d’intégration. A l’époque, l’école était encore toute jeune. Lorsque ces aspirants journalistes arrivaient, c’était une bouffée d’air pour la rédaction. Chacun avait bien sûr ses qualités propres : curiosité, pugnacité dans la recherche d’info, talents d’écriture ou de narration, goût du contact humain et de l’échange. Mais tous révélaient toujours beaucoup d’enthousiasme. Si bien que lorsque le jeune nous quittait nous nous disions, dommage... il (elle) faisait presque déjà partie de l’équipe ! Plusieurs sont d’ailleurs restés. Puis Marie Boselli m’a demandé de venir enseigner à l’école. Hésitation, trac : on peut être journaliste sans pour autant se sentir enseignant... savoir faire n’est pas forcément savoir transmettre. Après quelques balbutiements et beaucoup d’angoisse, je suis devenue aussi passionnément professeure que j’étais journaliste. Aujourd’hui, chaque promotion m’amène le même plaisir. Chaque étudiant exprime à sa manière sa passion pour ce fabuleux métier. A tous j’essaie de transmettre en retour l’exigence qu’il requiert. Et lorsque la passion se double exigence, ce sont de vrais professionnels que nous voyons éclore au fil de ces trois années de formation. Alors que vive la presse, que vive le journalisme et que vive l’EDJ !
MICHEL CHEVALET, Journaliste

En 1993 : "J'ai voulu insuffler aux étudiants ma passion de la vie et ma curiosité pour le monde qui nous entoure. Si j'ai contribué à les rendre curieux, je suis le plus heureux des profs !"
La réputation de l’EDJ
Camille A. Etudiante

L'offre de formation que vous proposez au sein de ce cursus a particulièrement retenu mon attention. Les moyens mis en place par votre école, tels que les "Médias réels" ou la présence de journalistes professionnels en tant que professeurs pour nous aider et nous faire progresser, me motivent et me mettent en confiance quant à mes capacités à exercer la profession que je convoite.
Julia D.

Je souhaiterais intégrer voter école car elle est reconnue par l'état et que vous possédez un excellent équipement (matériel et locaux) ce qui est un atout considérable. Mais surtout en raison de votre corps enseignant formé de journalistes toujours en activité et qui sauront mieux que personne nous guider dans l'apprentissage de ce merveilleux métier.
Estelle M.

J'ai connu votre école grâce à sa renommée auprès des étudiants et des professionnels lors de rencontres au forum des métiers. Cela m'a donc permis d'affirmer mon choix professionnel et de me conforter dans mon choix d'étude.
Esketu.G

"Les professeurs sont bons et transmettent l'amour de leur métier."
Ils racontent… leur passion pour le métier
Candidat, Promo 2018

Mon habitude de remettre en question les informations qui me parviennent, le désir d'en savoir plus, d'aller au-delà de ce qui est dit me donne envie d'être de l'autre côté de la radio que j'écoute, du journal que je lis, des médias que je regarde. J'ai envie d'en être la source, de chercher, d'être en action. Je suis attiré par l'infinité de possibilités et de domaines que traite le journalisme. La formation me permettra de nourrir ma curiosité, mon désir d'apprendre et satisfaire mon envie de transmettre et partager l'information.
Étudiant

"Grâce à mes trois ans à l'EDJ j'ai pu faire trois stages différents. Tous m'ont apporté quelque chose et m'ont fait devenir meilleure, plus responsable et plus à l'écoute. Grâce au dernier, je sais quelle voie je veux prendre prendre et quel domaine je veux me spécialiser : le journalisme féminin. J'ai réussi à décrocher un stage au sein d'un grand groupe de mode . C'est une réelle fierté et je le dois à mon travail, mais aussi et surtout à ma formation à l'EDJ. Mon rêve de petite fille va se réaliser et j'espère que j'en serai à la hauteur. Vivre de ma passion est le plus beau cadeau que je pouvais avoir et pour cela, je remercie l'EDJ et toute son équipe qui a toujours été là pour m'aider et me pousser dans mes choix. Je suis fière d'avoir fait partie de cette école et d'en être sortie avec un stage passionnant."
Étudiant

"Lors de mon apprentissage, je me rappelais la fois où mon ancienne professeur de presse écrite nous avait confié qu'il lui arrivait de ne pas dormir de la nuit tant que son papier n'était pas parfait. C'est précisément à ce moment là que malgré la fatigue, j'avais la force de continuer. J'étais une des leurs. J'étais journaliste. Je suis à un stade, grâce à l'école, où j'ai énormément gagné en confiance, en maturité et en professionnalisme."
Candidate, Promo 2018

Contrairement à d'autres, l'idée d'étudier le journalisme m'est venu à un âge mature, en effet, je ne préparais pas le baccalauréat adéquat et j'avais l'intention d'étudier les langues puis j'ai trébuché sur le journalisme pendant un moment qui ressemblait a une épiphanie, et j'ai réalisé que cela avait toujours été une vocation enfouis au fond de moi. J'ai eu cette confirmation lors d'un de mes stages que j'ai réalisé au sein d'un quotidien régional.