Les avis sur l’EDJ NICE et ses formations

Les avis du milieu professionnel sur l’EDJ
RAPHAËL PIERRE

Fatigué. Epuisé. Et j'écris encore. J'y crois pas. Que j'écris encore. Mais faut croire que j'aime ça ! 15 ans déjà. Merci l'EDJ. Merci pour tout.
Michel DRUCKER, Journaliste et parrain 2012 de l’EDJ

« Vous avez bien de la chance, moi je n’ai pas connu cette école ! Si vous passez par Paris, je serai ravi de vous accueillir dans les coulisses de mes émissions. »
Christophe DES ARCIS, Journaliste, 1999

"Vive l'esprit de cette école fait de curiosité, d'enthousiasme et d'ambition."
PATRICK POIVRE D’ARVOR, Journaliste et parrain 2005 de l’EDJ

En 1991 lors d'une conférence : "Pour le papa, la maman et tous les bébés de Nouvelles (ndlr : ancien nom de l'EDJ)... Avec tous mes voeux de bonheur. Amitiés confraternelles."
Les avis des étudiants sur l’EDJ
Étudiant

"Je me suis réellement régaler durant ces trois années à l'EDJ. Absolument tous les cours et toute l'équipe enseignante étaient au top, durant ces trois années, pour nous supporter. Le chapitre sur l'EDJ est terminé, et il m'a laissé un goût joyeux, et toutes les capacités nécessaire pour écrire la suite de l'histoire."
Étudiant, Promo 2020

"Je me sens totalement dans la peau d'une journaliste. Conférence de presse, interviews, réunions de groupes.. Je pense avoir trouvé ma place."
Laurent CANONICO, Journaliste, 2003

"(...) Quel plaisir d'avoir échangé avec ce dialogue on grandit, on s'enrichit. Félicitations d'avoir fait prospérer l'école."
Etudiant, Promo 2018

Le journalisme est fait pour les individus, qui comme moi, appréhendent la monotonie de la routine et la solitude. La matière première d’un journaliste n’est pas ses connaissances ou ses facilités d’écritures, mais l’humain. Notre rôle est de nous intéresser, d’être curieux, de creuser ce que chaque personne a à nous offrir. En trois ans, j’ai fait des rencontres qui m’ont bouleversée, comme la fois où je suis partie à Vintimille avec une association d’aide aux familles de migrants. Ma vision des réfugiés politiques a radicalement changé. J’ai également fait la connaissance d’anonymes, à l’occasion de micro-trottoirs. Certaines de ces personnes avaient des choses intéressantes à dire et en poussant la discussion, j’ai découvert des personnalités singulières, très touchantes, auxquelles je n’aurais jamais prêté attention si je n’étudiais pas le journalisme. J’aime également le fait de ne jamais cesser d’apprendre. Je n’ai jamais amassé autant de connaissance aussi rapidement que pendant ma scolarité à l’EDJ. Dans certains cours, j’ai appris le fonctionnement de notre société, ses établissements juridiques, sa constitution ou encore ses acteurs. Je ne m’étais pas rendue compte de mon ignorance avant de m’abreuver de savoir. J’ai ressenti beaucoup de honte à apprendre des éléments de culture générale fondamentaux à plus de 18 ans. Depuis, je veux sans cesse combler mes lacunes. Le journaliste est le métier rêvé pour assouvir ma soif de savoir. Traiter dans la journée des sujets dont je ne connaissais encore rien le matin même est enrichissant. Je prends confiance en moi en étant capable de donner mon avis ou juste expliquer un fait d’actualité ou historique. Je veux terminer une journée plus cultivée que la veille, ne pas m’enfermer dans une discipline. M’intéresser à tout me permet également de m’épanouir personnellement. Je suis allée plusieurs fois interviewer des libraires pour diverses raisons. Un d’eux m’a un jour conseillé un livre d’Eric Emmanuel Schmitt, « l’Évangile selon Ponce Pilate ». Autrefois désintéressée des écrits religieux chrétiens, cette lecture m’a fait découvrir l’histoire passionnante de la vie de Jésus. Depuis, je rattrape mon retard en la matière et continue de m’intéresser aux naissances des religions, une facette majeure de l’humanité. Je choisis cet exemple car il m’a particulièrement marquée, mais il y en a eu beaucoup d’autres et il y en aura encore davantage. En informant et en diffusant, le journaliste laisse une trace et contribue à retracer l’Histoire. Comme l’a dit Albert Camus en 1944, « le journaliste est un historien au jour le jour, et son premier souci doit être la vérité ». Nous fouillons, contactons, vérifions, recoupons, pour être fiable et gagner la confiance de nos lecteurs ou auditeurs. Nous participons à la richesse culturelle du monde, à créer un pont entre les différents pays et les différentes villes. Cette mission est loin d’être de tout repos. Notre emploi du temps dépend de l’actualité et nous avons à travailler dans la rapidité, avec le stress de la deadline. J’aime cet aspect très stimulant, cette montée d’adrénaline et le soulagement en fin de journée avant d’y retourner. La vie de journaliste est loin d’être fade et répétitive, elle est rythmée et hasardeuse, faite de déconvenues et de belles rencontres, de tristesse et d’émotion. Vouloir faire partie de l’aventure est donc tout naturellement un rêve et mon objectif. Si je devais choisir un mot pour résumer ces trois années à l’École Du Journalisme de Nice, ce serait l’enrichissement. Je ne regrette pas d’avoir intégré l’établissement car j’y ai reçu une formation de qualité. J’ai fait la connaissance de professeurs dont je me souviendrai tout au long de ma vie car ils ont forgé l’essentiel de ma culture générale. Je pense principalement à Werner Hoeffner, Gilles Zerbib, Christophe Colette et Yasmina Touaibia, dont le savoir paraît sans limite. Je n’oublie pas ceux qui m’ont appris les bases du métier, ceux qui m’ont donné les moyens de réaliser mon rêve : Pierre-Louis Castelli, Dominique Poulain, Mickael Lefebvre, François Chantrait, Romain Chardan et Stéphanie Gasiglia, dont les enseignements me suivront tout au long de ma carrière. Je serais hypocrite en disant que je me suis bien entendue avec tous mes camarade de promotions, mais j’ai tout de même noué des amitiés solides. J’ai gagné en maturité et trouvé ma voie en étudiant le journalisme. Je suis donc reconnaissante envers l’administration de l’école qui a cru en moi et m’a laissé ma chance. Merci.
Les avis et témoignages des enseignants sur l’EDJ
Marie Boselli

J’enseigne depuis 20 ans à l’EDJ, tout en en assurant la direction. J’ai pu, au fil du temps, adapter ma pédagogie aux évolutions très rapides de ce métier. Chaque année différent, chaque année nouveaux, mes cours naissent, je les teste, les modifie, puis je les confie à d’autres enseignants… La pédagogie est une vraie passion, un partage, une émotion sans cesse renouvelée. En début d’année universitaire, avec chaque nouvelle promotion, je me dis : je ne vais jamais y arriver ! Et puis j’y arrive, aidée par l’équipe pédagogique, des profs passionnés, pleins de fougue et d’envie de bien faire, plein d’inventivité, on y arrive ! Et bien sûr, les grands gagnants de notre aventure sont nos étudiants ! Je me souviens de chacun d’eux, de leurs facilités, de leurs doutes, de leurs progrès… Mon plus beau cadeau est, ensuite, d’entendre leur nom en signature d’un papier ou d’un reportage. J’avoue que je suis très, mais alors très fière de leur réussite, qui dès lors, devient un peu la mienne !
Pierre-Louis Castelli

Après trente ans de radio me voilà donc enseignant à l'Ecole du Journalisme de Nice . trente ans passés sur le terrain comme reporter à la rencontre des gens connus ou méconnus, trente ans de découverte. Enseignant à l’EDJ, j'éprouve la même passion en allant à la rencontre des étudiants qui seront je l'espère de bons journalistes. Avec les étudiants, le journaliste que je continue d'être, apprend à être à l'écoute d'une nouvelle génération qui vit avec internet et les réseaux sociaux ; ou l'information arrive directement et à toute heure sur le portable. Avec ces étudiants je reprends les bases du métier de journaliste , rigueur, découverte passion et disponibilité. A l'école de Nice j'ai découvert des amis enseignants plein de richesse , une équipe de direction à l'écoute des étudiants et des professeurs . Venez nous rejoindre vous ne serez pas déçus ....
Jérémy Guedj – Professeur d’histoire des médias et de politique

"Une école soucieuse de fournir une formation complète à ses étudiantes et étudiants et de les accompagner dans le monde professionnel. Une atmosphère toujours excellente au service de la réussite."
Thierry Apparu

Le métier de journaliste nous confronte à tous les types de situations, heureuses ou malheureuses, jubilatoires ou atterrantes, en multipliant les rencontres et les personnalités auxquelles il faut s'adapter, les cadres toujours différents dans lesquels se fondre, les ressources et les astuces à mettre en œuvre pour obtenir l'information à mettre en forme. Ce métier nous offre aussi la possibilité d'exercer une très grande variété de fonctions, reporter, présentateur et rédacteur en chef sur des supports très différents. Des fonctions aux spécificités propres et, plus encore aujourd'hui avec le développement des technologies numériques, des fonctions à exercer face à une camera ou derrière celle-ci, dans un studio de radio ou penché sur un clavier d'ordinateur. J'enseigne pour former à ces diversités, pour préparer les étudiants à ces techniques, mais aussi à ces remises en question permanentes liées à un métier évolutif et donc formidable par la richesse de ce qu'il nous offre d'inédit quasi quotidiennement. J'ai appris tout cela "sur le tas", en particulier lorsque très jeune j'ai rencontré quelques journalistes formidables, dont certains ont enseigné à l'EDJ. Ils m'ont appris et donc permis d'exercer mon métier. C'est bien la moindre des choses, à mon tour, de partager ces quelques connaissances aujourd'hui avec les étudiants.
La réputation de l’EDJ
Fabienne Gardon – Professeur de Voix, Souffle et Respiration

"Une école d’excellence avec une direction et une équipe pédagogique très compétente à l’écoute des étudiants. Cet établissement peut être fier de former de très nombreux journalistes qui font de belles carrières"
Nadia.E

"Bonne école.. Avec une direction soucieuse de la réussite de ses élèves.. Pour ma part. Je recommande."
Adrien B. Etudiant

Après avoir visualisé les différents Masters de journalisme en France, j'ai remarqué que seulement Nice proposait un master de journalisme spécialisé "journalisme sportif". L'école est aussi reconnue par l’État et cela est important pour moi.
Théo C.

J'ai pu analyser votre moyen de fonctionnement dans le développement de futurs journalistes et je sais que votre école serait le parfait endroit pour apprendre le métier de journaliste.
Ils racontent… leur passion pour le métier
Étudiant

"L'aspect que je préfère dans le journalisme est l'information. Donner aux auditeurs, téléspectateurs ou lecteurs l'accès à l'information. C'est ce qui fait de notre société une démocratie libre. Le droit à l'information est primordial et je veux y contribuer."
Étudiant

"À l'EDJ, j'ai pu acquérir un socle de connaissance très solide pour devenir journaliste. La formation professionnalisante et surtout multi supports que j'ai suivis pendant deux ans me permet d'aborder le métier sous différents angles. L'enseignement de qualité avec de vrais professionnels m'a permis de m'épanouir et de vraiment progresser. On m'a appris à sortir des sentiers battus, à toujours être force de proposition et autonome grâce aux journées de médias réels, tout en proposant un socle d'enseignement solide, essentiel avant de se lancer sur le marché du travail. Au moment de regarder dans le rétroviseur, je suis pleinement satisfait de ces années à l'EDJ. Un nouveau chapitre de ma vie s'ouvre maintenant."
Étudiant, Promo 2020

"Ce qui alimente ma vocation depuis que je suis étudiant à l'École du Journalisme de Nice est ma passion pour le sport. J'ai tout sacrifié pour elle. Je ne me vois pas ne pas y travailler dans le futur. Depuis l'âge de 5 ans, je suis baigné dans ce monde et je ne compte pas que cela s'arrête. Tout ce qui concerne le sport, j'ai envie de le partager."
Candidate, Promo 2018

Selon l'Internaute, un journaliste est une personne qui collabore à la préparation d'un journal écrit ou audiovisuel. Cependant, un journaliste se bat aussi pour renseigner le monde et l'informer sur ce qu'il ne sait pas ; d'autant plus aujourd'hui, où les modes d'accès aux informations deviennent anarchiques et peu fiable. J'ai choisi de devenir journaliste reporter car je veux informer quiconque sur ce qui se passe dans le monde et également avoir la possibilité de voyager.
