
Je m’appelle Mathieu Marenc et suis en 3e année à l’École du Journalisme de Nice. Je vais vous partager la passion qui m’anime et qui m’a conduit sur la voie du journalisme sportif.
Celle-ci est née très tôt, grâce à mon père, arbitre international de volley-ball, qui m’a initié à ce sport dès mes trois ans. Le volley, et le sport en général, ont immédiatement pris une place centrale dans ma vie. Mon père m’a aussi transmis l’amour du journalisme : enfant, je dévorais les pages de L’Équipe, où je découvrais des histoires aussi captivantes que celles des livres. J’ai ainsi su très jeune que je voulais devenir journaliste sportif.
Le sport est pour moi bien plus qu’un simple sujet, c’est un langage, un moyen de raconter des histoires humaines. Le volley, en particulier, est un héritage familial précieux. Mon père, disparu en 2015, m’a légué cette flamme, et devenir journaliste sportif dans ce domaine serait une manière de lui rendre hommage.